La NASA vient d’annoncer la découverte de 7 planètes autour de l’étoile Trappist-1. De taille terrestre et de température modérée, au moins 3 d’entre elles sont situées dans la zone d’habitabilité de cette étoile.
Elles sont sept comme les jours de la semaine, ou les nains de Blanche-Neige ou tout ce que vous voulez. Elles sont sept planètes à tourner autour d’une étoile minuscule. C’est ce qu’une équipe internationale a annoncé le 22 février. Ces sept planètes seraient de taille comparable à celle de la Terre et pourraient être soumises, pour certaines, à des températures permettant à de l’eau liquide de perdurer à leur surface.
2020 – Conjonction de Saturne-Pluton en Capricorne
Face aux cycles mondiaux des lentes, rendez-vous est pris avec l’humanité pour accueillir la conjonction de Saturne-Pluton en Capricorne le 12 Janvier 2020 à 16H24 Gmt. Cette conjonction s’est jouée la dernière fois dans la fin de l’année 1982 dans le signe de la Balance et revient près de 38 années après. Du fait des cycles, on retrouve Jupiter de nouveau près de la conjonction Saturne Pluton de 1981 et celle qui aura lieu en 2020.
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Dans le cadre de l’étude d’Éris, cet article focalise essentiellement sur cette planète naine afin de mieux la cerner et en comprendre le sens. Il est bien entendu que les autres planètes majeures gardent chacune tout leur intérêt dans l’interprétation complète d’un thème astral. Je vous conseille une belle et très intéressante conférence de Fabrice Pascaud, du 11 janvier 2020 :
André Breton a porté un intérêt certain à l’astrologie : « Que l’astrologie soit la « langue d’or » de l’analogie, celle qui tend à permettre les plus grands échanges entre l’homme et la nature en établissant entre eux tout un réseau de localisations qui se correspondent, je ne saurais le contredire » André Breton – Entretien de Jean Carteret et Roger Knabe, avril 1954, sur le site de Fabrice Pascaud :
par F. Pascaud – Mélusine Dont voici un extrait : « L’ambivalence ressentie par Breton qui, en prenant l’arcane 17 comme emblème, synthétise à la fois le signe du Verseau et celui des Poissons, comme un jeu de va-et-vient entre ces deux signes. […] Breton était un homme doté d’une sensibilité et d’une intuition tout à fait remarquable, pour ne pas dire hors du commun. Il avait l’art de saisir la manifestation subtile des objets, de créer des connexions, il possédait ce don précieux de donner à voir. »
De fait, devait-il ressentir les étoiles, c’est-à-dire bien au-delà de notre sphère terrestre, au-delà même de notre système solaire, car étant né aussi sous la constellation du Verseau, il devait en percevoir les ondes… Je renvoie aussi à mon article « Constellation du Verseau » :
Le 18 mars 2012, dans le cadre du congrès astrologique Sep Hermès, organisé par Catherine Gestas et Yves Lenoble, Fabrice a donné une conférence portant sur le thème : Le féminin, pôle magnétique dans l’œuvre d’André Breton. Il vous livre ici l’enregistrement de cette conférence.
Spécialiste d’André Breton, Fabrice Pascaud nous dévoile un portrait magistral de cet auteur à travers sa carte astrale.
Sur Pluton, l’eau gelée est tellement solide qu’elle forme des montagnes et les glaciers sont constitués de glace d’azote. Les caractéristiques de cette planète naine, que les scientifiques découvrent peu à peu grâce aux informations transmises par la sonde américaine New Horizons qui s’en est approchée en juillet 2015, sont vraiment surprenantes.