14 ÉRIS en Taureau de 1519 à 1603

ÉRIS et ses 2 dernières révolutions autour du Soleil (866 à 1392 et 1393 à 1924)

 →  14 Éris Taureau 1519-1603

« Labourage et pâturage sont les deux mamelles dont la France est alimentée, les vraies mines et trésors du Pérou. », (tirée des Economies Royales, de Maximilien de Béthune, duc de Sully, 1572-1594)

« Si Dieu me donne encore de la vie je ferai qu’il n’y aura point de laboureur en mon Royaume qui n’ait moyen d’avoir une poule dans son pot. » (formule prêtée au roi Henri IV)

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Recherche signe par signe de l’influence de Éris sur les évènements et sur les personnalités au cours de ses deux dernières révolutions complètes autour du Soleil. Voyage dans le temps qui n’est pas sans quelques surprises !…

Bonne lecture !  Carmela (juin 2017)

5 réflexions sur « 14 ÉRIS en Taureau de 1519 à 1603 »

    1. Carmela DI MARTINE Auteur de l’article

      Bonjour Richard !
      Merci pour ta visite sur mon site !
      Intéressant de noter l’arrivée ces astéroïdes juste à cette période ! Merci pour ce « plus » !
      En effet, le Château de Chambord est un lieu très intéressant à ce sujet. La Renaissance est la belle période de l’ésotérisme. Le signe du Taureau fait face à celui du Scorpion… Ce qui amène un certain goût pour des conceptions plus profondes.
      Effectivement, c’est avec le passage d’Éris en Taureau que la vision de l’univers est passée du géocentrisme ptoléméen à l’héliocentrisme de Copernic, sans oublier la petite part de Tycho Brahe (1546-1601). Mais Giordano Bruno (1548-1600) y a brûlé sa peau. Durant quelques décennies on a plutôt cherché à concilier les deux théories. Ce n’est que lorsque Éris est passé en Gémeaux (de 1604 à 1639) que le « message a commencé à se répandre » et vraiment être que quelque peu admis, grâce en particulier à Kepler (1571-1630) et à Galilée (1564-1642) qui, lui, a bien failli quand même être condamné aussi…
      Je parle donc de l’héliocentrisme page 8 de l’article « 15 Éris Gémeaux 1604-1639 » :
      https://astrolabor.com/wp-content/uploads/2017/06/15-%C3%89ris-G%C3%A9meaux-1604-1639.pdf
      Il est intéressant également de constater qu’à sa révolution précédente, Éris en Taureau de 988 à 1056, c’est la construction des tout premiers châteaux forts.
      Page 8 de mon article :
      https://astrolabor.com/wp-content/uploads/2017/11/2-%C3%89ris-Taureau-988-1056-r.pdf
      Et pages 3 et 4 de mon article de conclusion sur les « parallèles entre les 2 dernières révolutions d’Éris » :
      https://astrolabor.com/wp-content/uploads/2018/01/Comparaison-2-r%C3%A9volutions-%C3%89ris-r.pdf
      Les cycles ne sont jamais identiques bien sûr, juste une ambiance semblable. Nous évoluons en spirale…
      Comme je l’ai écrit dans mes articles, cette étude n’est seulement qu’un survol des principaux évènements de l’histoire. Il est déjà intéressant de constater comment Éris utilise le signe qu’elle traverse pour faire avancer le monde, évoluer l’humanité.
      Ce n’est qu’un travail de débroussaillage donc qui je l’espère peut et pourra servir de base et de tremplin à tous ceux qui veulent étudier une période particulière de l’histoire, ou approfondir encore ces recherches pour enrichir toujours l’astrologie…
      À bientôt, Richard !

  1. Richard Doyle

    Encore une remarque… la période d’entrée d’Éris en Taureau correspond à l’amorce de la construction du Château de Chambord en 1519… un lieu très ésotérique, où beaucoup de connaissances sont encryptées.

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  2. Richard Doyle

    Je note que le 18 février 1540, et donc trois ans avant la mort de Copernic qui avait laissé des directives de diffuser ces hypothèses uniquement après sa mort (il anticipait les contre-coups de la pomme érisienne qu’il allait lancer), donc je note en géo une conjonction Éris et astHelio 5°0 Taureau (tropical géo), et Chiron (érudit de l’astronomie/astrologie) venait d’entrer en Taureau à 0°46. On peut facilement entrevoir que 3 ans pour écrire ses observations et sa théorie avant sa mort est un délais raisonnable.

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  3. Richard Doyle

    Bonjour, Carmela

    Je note que c’est avec le passage d’Éris en Taureau que la vision de notre univers est passé du géocentrisme ptoléméen à l’héliocentrisme copernicien… un boum pour la science, mais également pour le dogmatisme religieux.

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